Publié par Ce qu’on a présenté comme sextape entre mineurs, dans les réseaux sociaux, est un scandale abject impliquant des gérants de résidences mais aussi des personnes adultes.
12 suspects sous le régime de la garde a vue ont été interrogé. Certains parmi eux sont visés pour pédopornographie, viol et détournement de mineurs.
Libération révèle que » l’affaire de la cité mixta » qui défraie la chronique dans les réseaux sociaux, ne s’est passée dans ce quartier de Dakar. Et ce n’est pas qu’un simple jeu sexuel entre mineurs qui a la fini sur la toile. Que s’est-il passé ?
Dans le cadre de la surveillance des réseaux sociaux, la brigade de protection des mineurs et la brigade des moeurs ont mis en place une équipe de surveillance d’un autre genre: » la patrouille internet ».Cette patrouille est composée de plusieurs agents qui, sous de fausses identités , possèdent des comptes sur Facebook , Instragram, Snap…..Sa mission: rechercher de possibles délits ou outrages dans le réseaux sociaux.
Ainsi, les « patrouilles » du web sont tombés sur deux vidéos mettent en scène des jeunes qui se qui se livraient a une orgie. Le diffuseur des vidéos sera intercepté mercredi au petit matin. les choses sont accélérées hier: entre 6h et 7 h du matin, les équipes civiles du commissariat central de Dakar ont procédé a des interpellations des acteurs et actrices dans des vidéos qui logent principalement Sacré Coeur, Liberté 5 et les Maristes.
Dans le foulée, le gérant de la résidence Zeina, située sur la route des Maristes, tombe. Il sera, rejoint en garde en vue par le gérant d’un appartement meublé situé a la cite Keur Gorgui. Selon les informations les vidéos en cause ont été tournés dans ces lieux a la veille et le jour de la korite.
Mieux, il s’agit de deux groupes même si certains ont participé au deux scènes. L’un d’eux a révélé aux enquêteurs qu’il s’agissait de « partouzes géantes » lors desquelles tout le monde était consentant. Le problème est que le consentement n’est ni reconnu aux mineurs et la plus jeune des actrices a…. 14 ans.
Pire, quatre majeurs âgés entre 19 ans et 21ans, ont participé aux ébats. Ils se sont d’ailleurs visés pour pédopornographie, détournement mineures et viol. Des sources autorisées renseignent encore que l’un des gérants de résidences n’hésitait pas a participer aux orgies. Une affaire sur laquelle nous reviendrons avec plus de détails.
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