Il est de coutume de traiter des affaires de détournement de mineure entre un homme et une gamine. Mais, cette fois-ci, il s’agit d’une histoire de sexe concernant une femme mariée d’âge mûr, K. D, 40 ans, et un jeune boutiquier, O. B, 13 ans. Gâtée par la nature à cause de ses rondeurs affriolantes, elle a fait tourner la tête du jeune commerçant et se donnait à lui dans sa chambre conjugale, moyennant de l’argent. Ainsi, elle a fini par mettre en faillite la boutique du pauvre adolescent.
O. B, 13 ans, gérant d’une boutique sise au quartier Gouye Fatou Maïga de Djeddah Thiaroye Kao, qui lui a été confiée par son oncle, a mis la clé sous le paillasson par le fait de ses récurrents rapports sexuels moyennant de l’argent, avec la femme mariée K. D. Après avoir ouvert une boutique bien achalandée dans le secteur, son oncle lui a confié la gestion du lieu de commerce. Le «gosse» s’occupe bien de la boutique et fait de bons bénéfices. Il entretient de bons rapports de voisinage avec les gens, notamment la dame mariée K. D, qui vit en location dans une chambre contiguë à la boutique de l’adolescent.
Elle emprunte 5000 F au gamin, lui propose un rapport sexuel et lui parle de «capote»
Un jour, la femme entre dans la boutique, confie ses soucis financiers au jeune garçon et demande un prêt de 5.000 F. Le gamin refuse et lui dit que la boutique appartient à son oncle maternel. La dame insiste, fait les yeux doux à l’adolescent et jure de lui rembourser sous peu le fric. Le boutiquier accepte, lui remet les 5.000 F et la met en garde. Mais, quelques jours après, la jeune femme revient dans la boutique, trouve le garçon seul sur les lieux et fouille dans sa pochette pour lui rendre la somme empruntée. Mais cela n’était que de la ruse pour la dame, en vue d’attirer l’attention du gamin sur sa plastique. Elle renonce brusquement à la fouille, se penche davantage sur le comptoir et interpelle le garçon sur la nature du mode de remboursement. «Comment préfères-tu que je te rembourse ?», lance-t-elle à l’endroit du boutiquier. Qui peine à décrypter le message codé de la femme mariée et lui en fait la remarque.
Le garçon ignore le mot «capote» et écarquille les yeux ; la dame l’invite chez elle et couche avec lui, c’était toujours entre «timis» et «geewe»
La dame baisse la voix, se rapproche du gamin et lui demande s’il détient par-devers lui une capote. Le pauvre roule de gros yeux innocents et affirme ignorer le mot «capote». Sachant qu’elle a affaire à un novice, la dame pouffe de rire, change de sujet de discussion et promet de repasser plus tard pour régler le prêt. Mais, le lendemain, elle appelle le jeune boutiquier, l’introduit en douce dans sa chambre et lui montre une capote. Elle le déshabille, lui enfile le préservatif et couche avec lui. Elle remet ça plusieurs fois et finit par pervertir le pauvre boutiquier. Le «gosse» prend goût aux nombreuses escapades lubriques avec la dame mariée, se transforme en objet sexuel et se plie maintenant aux quatre volontés de celle-ci. Il ferme systématiquement sa boutique entre «timis» et «geewe», se rend dans la chambre de la dame et couche avec elle moyennant toujours de l’argent. Tous les deux se comportent de la sorte pendant plusieurs mois à l’insu de tout le monde.
Il devient accroc au sexe et pille les caisses de la boutique ; il passe de 5.000 F à 250.000 F
Devenu complètement accroc, le jeune boutiquier puise maintenant dans les caisses de la boutique de son oncle maternel pour satisfaire les moindres besoins de la femme mariée. Cette dernière fait monter les enchères et place la barre très haut pour se donner au pauvre garçon perverti. Ce dernier accepte les nouvelles conditions de la femme mûre et lui donne de l’argent sans compter. Il passe alors de la modique somme de 5000 F à 250.000 F. Sans compter les cartes de crédit de téléphone et autres produits de vente. A la veille du Magal, il se rend chez la dame, sur sa demande, lui remet 80.000 F, en guise de billet de transport et entretient avec elle des rapports sexuels. Et durant le séjour de la dame à la ville religieuse, Il lui envoie souvent du fric, des sommes d’argent variant entre 15.000 F et 80.000 F via les réseaux de transfert d’argent.
L’oncle conduit le neveu à la police; le garçon vend la mèche, la dame déférée
Vu que la boutique risque le dépôt de bilan, l’oncle soupçonne son neveu de vols répétés dans sa boutique et dépose une lettre-plainte au commissariat de police de Thiaroye. Le commissaire Khadidiatou Sall les convoque, les auditionne, de manière sommaire et les confie aux enquêteurs. Le jeune garçon nie les faits de vol et clame son innocence. Mais, pressé de questions, il craque, fond en larmes et balance la femme mariée. «C’est elle qui me faisait venir dans sa chambre entre timis et geewe pour des rapports sexuels moyennant de l’argent», a soutenu le pauvre devant les enquêteurs. La mise en cause a nié les faits sans convaincre. «Il ne faisait que me rendre l’argent que je lui confiais». Malgré tout, K. D, mariée, a été déférée hier au parquet par la police de Thiaroye pour détournement de mineur (un garçon de 13 ans) et incitation à la débauche.
jotaay.net
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