Mouhamadou Moustapha Diagne, porte-parole du ministre de l’Education nationale, a annoncé une nouvelle reprise des classes au courant du mois de juin. Face au risque réel d’une année blanche, il est revenu sur le plan en question.
Parole au ministère de l’éducation nationale : Entre craintes d’une année blanche et reprise des cours avortée (vidéo)Sélectionné pour vous :
Parole au ministère de l’éducation nationale : Entre craintes d’une année blanche et reprise des cours avortée (vidéo)
« Un comité travaille pour proposer une nouvelle date au président de la République », dit-il. Il souligne dans le même sens que l’Etat perdrait 526 milliards Fcfa en cas d’année blanche ou invalide.
Pour Mouhamadou Moustapha Diagne, il n’est pas question de parler d’une année blanche ou invalide. Cela, dit-il, « est une instruction du chef de l’Etat. Une année blanche est lourde de conséquences ». Parce que chaque année, explique M. Diagne, « c’est 400 000 enfants qui sont recrutés pour le CI. En cas d’année blanche ou de redoublement général, où est-ce qu’on va mettre ces enfants. Ce serait très grave de les laisser à la maison. Il invite les parents à les accompagner pour une reprise des classes dans les meilleures conditions ».
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