L’affaire du présumé avortement impliquant le journaliste Cheikh Yerim Seck a connu des développements inquiétants. Ce dossier, hérité par la Section de recherches de la gendarmerie sis à la Caserne Samba Diéry Diallo de Colobane, est désormais entre les mains du juge d’instruction du premier cabinet.
Selon des sources à L’Observateur, face au juge, Yerim Seck n’a pas voulu se prononcer sur la nature de la relation qui le lie à la fille. Seulement, l’accusatrice Ngoné Thiam, se serait montrée formelle. Cheikh Yerim l’a mise en état de grossesse et lui a remis la somme de 200.000 FCFA pour qu’elle l’interrompte clandestinement. Mais pour le journaliste, cette somme lui a été envoyée pour simplement l’aider à payer le loyer.
Le journaliste reconnu coupable de viol en 2012, a été inculpé mercredi par le Doyen des juges d’instruction Samba Sall, du tribunal de Dakar pour « complicité d’avortement », et placé sous contrôle judiciaire.
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