Les besoins en eau dans la ville sainte de Touba sont inestimables à quelques heures du Magal.
Les populations qui vivent à Dianatou et dans les santhaines (quartiers périphériques) de Touba vivent le calvaire avec ce manque d’eau notoire. Hommes, femmes et enfants, en voiture ou en calèche ou bassine sur la tête, en quête du liquide précieux.
Touba s’agrandit de jour en jour et lors du Magal, des villages se déplacent avec de maigres moyens pour répondre à l’appel de Cheikh Ahmadou Bamba.
→ A LIRE AUSSI : Invités d’honneur du Magal 2017, les Rohingyas demandent à la communauté internationale de prendre exemple sur Touba
→ A LIRE AUSSI : 25 morts entre Kébémer-Touba : les 7 victimes d’une même famille Saint-Louisienne inhumées ce matin
→ A LIRE AUSSI : Accident Magal de Touba : Le triste record de l’année dernière est tombé.
'