Le hiérarchie policière se mobilisa et envoie du renfort au Commissariat de Ndamatou pour la diligence des enquêtes. La police scientifique se mit à l’œuvre et on trouva rapidement l’arme du crime et les habits des victimes. Informé, Bara Touré tente de se trancher la gorge.
Dans le secret de leur bureau, les enquêteurs étaient convaincus que Bara Touré a tenté de mettre fin à ses jours car il se savait encerclé .Le principal suspect interné, la police explore la piste génétique pour le confondre définitivement. Le 10 janvier 2020;le Commissaire Idrissa Cissé, directeur de la Police judiciaire, saisit le laboratoire d’hématologie médico-légale (Lhm) sis à Bordeaux. Comme l’indique sa présentation.
Ainsi, après avoir prélevé l’adn du mis en cause, les résultats des tests montrent que son empreinte génétique était sur l’arme du crime. Bara va jurer qu’il ne ferait jamais un tel crime mais comme la science ne ment jamais.
En saisissant le Laboratoire, la Police judiciaire à transmis à ses spécialistes ,l’écouvillonnage du sang retrouvé et détecté sur la matelas où dormaient les deux victimes,
des traces rougeâtres trouvées sur le sol de la scène de crime, le talisman que portait Serigne Mbacké Touré, l’arme du crime ,les habits tachés de sang et les prélèvements effectués sur Bara Touré et sur ses deux épouses ainsi que le pantalon blouson que portait le père la nuit des faits, rapporte Libération.
Au finish, les policiers pensent connaitre le mobile de ce double crime. Bara Touré qui soupçonnaient ses deux épouses d’adultère, aurait décidé de se venger à sa façon “en prenant” le fils de chacune d’elles. Point barre.
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