Le coronavirus a impacté négativement le travail des prostituées qui n’ont plus la possibilité d’être dans les bars et/ou sur les trottoirs pour charmer les amateurs indécrottables de plaisir.
Alors que leur profession souffre en silence, les belles de nuit ont trouvé une autre stratégie pour exercer leur métier. Désormais, rapporte Rewmi Quotidien qui est allé à la rencontre des travailleuses de $exe qui font des révélations à couper le souffle Instagram, la célèbre application de partage de photos, est devenue le nouveau lieu de prédilection pour entrer en contact avec ces dernières.
Une prostituée, sous couvert de l’anonymat, regrette le fait que les limiers utilisent les numéros qu’elles mettent en ligne pour les arrêter. « Souvent les policiers nous appellent et se présentent comme des clients. Juste pour nous arrêter et nous conduire devant les juges. Au tribunal, nous sommes souvent jugées pour défaut de carnet sanitaire, proxénétisme ou diffusion d’images contraire aux bonnes mœurs », a-t-elle.
À l’en croire, c’est parfois très difficile pour elle. Pour stopper l’expansion de cette pratique, d’aucuns prônent la traque de ces réseaux en ligne.
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