Engagées au service de familles libanaises comme « les petites mains » des grandes dames de Beyrouth, les domestiques africaines du pays des Cèdres vivent une situation sociale dramatique.
Privées des droits les plus élémentaires de l’homme, les femmes de ménages africaines sont interdites d’aimer, par les lois scélérates libanaises. Devant les caméras de Babacar Touré, l’envoyé spécial de Kewoulo à Beyrouth, Mlle Awa Sène s’est confiée sur le sort peu enviable qui est celui de centaines de nos compatriotes, prises au piège des cultures moyenâgeuses du très compliqué Proche-Orient.
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