Le débat sur le statut du chef de l’opposition continue de faire rage au sein du landerneau politique national. Thierno Bocoum ancien parlementaire prend le contre-pied de Ousmane Sonko leader de Pastef.
Dans une note publiée hier, le président du mouvement « Agir » affirme que ce débat est moins important que beaucoup d’autres priorités de l’heure, rapporte les Echos.
Pour lui, alors que certains cherchent à reléguer le débat au second plan, faute de pouvoir faire partie des leaders éligibles, d’autres veulent réfréner sa mise en œuvre de peur que ce soit une corde de plus à l’arc d’un opposant politique autres qu’eux-mêmes.(…).
Ceux qui disent ne pas en faire une priorité, en font la priorité de leurs prises de parole et de leurs argumentaires, laissant en rade plusieurs autres questions brûlantes de l’heure », lâche l’ancien député.
Pour Thierno Bocoum, l’statut de l’opposition et son chef est déjà acté par le peuple souverain lors du référendum de 2016.Selon lui, le chef de l’opposition dans le cadre d’un régime présidentiel ne peut être que le candidat venu après celui qui a été désigné chef de l’Etat.
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