Apres les menaces du Président Français, Emmanuel Macron, les rebelles du Tchad prêts pour une discussion avec la classe politique
« Nous avons affirmé notre disponibilité à observer une trêve, un cessez-le-feu (…) mais ce matin nous avons encore été bombardés», a déclaré Mahamat Mahadi Ali, chef du Front pour l’alternance et la concorde au Tchad (FACT) joint par téléphone depuis Libreville. L’armée tchadienne avait assuré en début de semaine avoir «détruit» la colonne de rebelles et tué 300 combattants. »
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