Les familles religieuses sénégalaises ont un dénominateur commun qui est leurs liens étroits de parenté.
De Touba à Tivaoune, le même sang noble et familial coule dans les veines de nos chers guides.
Selon une généalogie clairement établie par des historiens sénégalais, Mame Maharam Mbacke, un grand érudit et pionnier de l’enseignement coranique et religieux dans nos contrées ancestrales, serait l’arrière grand-père commun de deux de nos plus vénérés guides que sont Cheikh Ahmadou Bamba (rta) et Mame El Hadji Malick (rta).
À la lumière de cette découverte historique, il est clair que l’entente et la cordialité entre les confréries sénégalaises sont séculaires, ils constituent un héritage non négligeable pour les générations présentes et celles futures, et un rempart imprenable pour les dérives comme le terrorisme et les nouvelles formes d’extrémisme auxquels le monde musulman est confronté.
Aujourd’hui plus que jamais, le modèle du soufisme sénégalais est un viatique et un patrimoine qui doit être vulgarisé et enseigné dans toutes les zones où sévissent les guerres religieuses plus précisément dans le Moyen-Orient.
Notre islam peut engendrer la paix et l’apaisement des cœurs dans toute la Oummah islamique.
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