La faible participation observée à Bakel, ainsi que dans d’autres localités comme Tambacounda, Goudiry et Ballou, semble refléter une situation préoccupante liée à des circonstances exceptionnelles. Selon Alphousseyni Cissokho, coordonnateur du Forum civil à Bakel, plusieurs facteurs expliquent cet état de fait, notamment les récentes inondations qui ont gravement affecté la région.
Ces inondations ont plongé de nombreuses familles dans des conditions difficiles, entravant leur mobilité et leur capacité à participer aux élections. Dans des localités comme Ballou, située à 75 km de Bakel, la situation est encore plus critique en raison de l’isolement causé par les dégâts matériels.
Le faible taux de participation depuis l’ouverture des bureaux de vote ce matin à 8 heures témoigne d’une priorité donnée à la gestion des urgences humanitaires, reléguant les préoccupations électorales au second plan pour beaucoup d’habitants.
Cette situation met en lumière l’impact des catastrophes naturelles sur le processus démocratique, soulevant la question de l’adaptation des autorités pour permettre aux citoyens touchés de participer pleinement à la vie politique malgré les contraintes.
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