Serait-ce une fatwa du ministre de la Santé contre la commercialisation des bouillons très prisés chez les femmes sénégalaises pour agrémenter leurs plats ? L’aveu est d’Abdoulaye Diouf Sarr même, qui n’est pas loin d’assimiler la consommation des bouillons aux effets des médicaments contrefaits sur la santé des populations, notamment à Touba.
«Le problème des faux médicaments devrait être pris en charge par l’Etat, parce qu’il s’agit d’un phénomène extrêmement grave. A Touba, il y a 33 dépôts pharmaceutiques et 400 boutiques. Après la saisie des faux médicaments de plus d’un milliard, je pensais que c’est l’agent judiciaire de l’Etat qui allait saisir cette affaire. Il faut que l’Etat prenne en charge cette question», insiste le ministre de la Santé, cité par Vox Populi.
«Les médicaments contrefaits, poursuit-il, créent beaucoup de problèmes au populations et entravent la longévité de ces derniers. A cela s’ajoute la publicité mensongère des tradipraticiens, l’utilisation abusive des bouillons qui favorisent le cancer, les insuffisances rénales».
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