En matière de sexe, le Sénégal a toujours connu sa petite révolution. Juste que cela se jouait dans l’intimité des foyers ou entre quatre murs, loin des regards chastes des tout-petits Et de la petite révolution avec le fameux ‘’jumbax out’’, whatsapp a complétement mis le sexe dans la rue. Et elle va se poursuivre… les petits écarts de notre bonne société.
On a toujours chanté l’hymne de l’élégance de la Sénégalaise. C’est devenu une pièce maitresse de notre carte touristique. Les Sénégalaises restent également ce qu’elles ont toujours été. C’est-à-dire des femmes sensuelles et qui se révèlent sans pudeur entre quatre murs.
Ceci est tellement vrai que leurs sœurs de la sous-région leur vouent une crainte ou haine (c’est selon) viscérale, sachant qu’elles n’ont aucune chance de sortir indemne d’une confrontation…séductrice avec elles. Mais voilà, si impudiques qu’elles sont, cela s’est toujours joué entre quatre murs et loin des yeux chastes des enfants dont les filles.
De la mode Charleston
Ces dernières recevaient une éducation bien rigide quand elles étaient en âge de se marier. C’était pour leur livrer les bons secrets d’un ménage afin que l’homme ne s’éloigne jamais d’elles et qu’elles puissent toujours entretenir cet art de la séduction, afin que la bonne carte des femmes sénégalaises ne se perde avec la modernité.
Bien loin cependant, est cette époque où tout se cachait et que même dans son intimité, l’épouse n’offrait pas tout à son bienheureux mari. « On portait plus de trois pagnes, chacune d’entre ces étoffes ayant un rôle bien spécifique », renseigne une gardienne des belles traditions. Suspense garanti !!!
Aujourd’hui avec les fameux pagnes perforés, tout s’offre à l’état brut au bienheureux qui peut même être, juste de passage. On lui avait promis des gâteries. Et il récoltera en lui vidant, malheureusement, les poches. Personne ne pouvant résister à une arme aussi puissante et fatale que ces petits pagnes aux senteurs mortelles et qui vous rendent carrément idiot.
Et pourtant, malgré le côté sensuel des Sénégalaises, elles ont toujours tenu à être pudiques malgré la mode ravageuse venue de l’Occident. Elles ne montraient pas tout. Il arrivait qu’un pantalon ou une robe dévoile de belles rondeur ou de belles jambes. Ca s’arrêtait à ces accessoires.
Tout a commencé au début des années 90 quand des midinettes, après avoir essayé les fameuses robes « charleston » pour lesquelles, il arrivait qu’un coup de vent divulgue quelques petits secrets, éprouvèrent le désir de faire tomber quelque chose. Et d’un cran, elles ont osé livrer ce petit secret logé au creux d’un ventre… le nombril. Ce petit trésor qui promet… de belles éteintes.
Cachez-moi ce nombril…
Ce fut la mode ‘’jumbax out’’ qui rendit dingues bien des messieurs. Il parait que ce fut l’époque où certains ne se retenaient plus. Violant et déflorant ! Et la série se poursuit. Les pantalons ‘’jeans’’ se mettent à exhiber des chutes de rein à travers de petites culottes qui ne cachaient presque rien.
Attention, on ne fait pas dans la versification. On ne se trouvait pas non plus dans un centre de nudisme, mais cela en avait tout l’air à Dakar et les grandes villes de l’intérieur du pays. Et pour plus de confort, les petites culottes perdirent de leur utilité.
Ça se baladait entièrement nue au plus grand plaisir des voyeurs. Et ce fut pire dans certains établissements comme les boîtes de nuit. Du sexe dans les clubs privés fermé. Et suprême honneur, rien au-dessus. De petites robes au ras des fesses. Et quand ça croisait se décroisait les jambes, des messieurs perdaient toute retenue et devenaient carrément dingues, s’ils ne frôlaient pas une crie d’apoplexie.
Il paraît que certains d’entre eux, y ont perdu une fortune en livrant leurs chéquiers. On les comprend ! Et tant pis pour eux ! Ils étaient sûrs de ne pas mourir idiot. Mais malheur à ceux qui n’ont pu récolter qu’un doux baiser. Les pauvres ! Vous pensez qu’elles en avaient assez de ‘offrir ainsi.
La révolution whatsapp
C’est arrivé par les Ntic avec la téléphonie mobile et tous les petits secrets que révèlent ces appareils qui ont révolutionné le monde. Pour le petit bonheur de l’amant, tout est permis et autorisé. Ça, c’était bien avant whatsapp avec ses petits écarts rendus célèbres par une certaine MBathio Ndiaye. Et elle n’est pas la seule. C’est la mode. On éprouve le plaisir de découvrir son corps.
Bien sûr, elles ne souffrent pas de narcissisme. C’est une tradition. On met en boîte ses ébats sexuels ou autorise l’amant à prendre des poses suggestives et très, très osées. Ah, quand on aime ! On est presque folle. Et entre quatre murs avec des copines, on s’autorise tous les excès !
Ainsi s’est retrouvé dans la rue, le sexe avec tous ces procès devant nos juges qui ne doivent pas du tout s’ennuyer. Et ce n’est que le début en attendant que le nudisme soit autorisé. Et l’on n’est pas loin de ce monde. Dakar étant la capitale du sexe à ciel ouvert ! Ouvrez bien les yeux ou accrochez –vous à vos fausses pudibonderies ! Le meilleur est à venir…
Le Témoin
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