« Harcèlement judiciaire », manifs : Ousmane Sonko apporte enfin sa part de vérité…

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Ousmane Sonko expose sa version des faits concernant les événements tragiques qui ont suivi ce qu’il décrit comme un « harcèlement judiciaire » et la décision prise à son encontre dans l’affaire opposant une citoyenne sénégalaise qui l’a injustement accusé de viol et de menaces de mort avec une arme à feu. Voici un extrait de ses déclarations…

Le leader de Pastef s’est exprimé dans un document intitulé : « LUMIÈRE SUR LES VIOLENCES DE L’ÉTAT DU SÉNÉGAL CONTRE LES POPULATIONS CIVILES AVANT, PENDANT ET APRÈS LA DÉCISION JUDICIAIRE DU 1er JUIN 2023 ». Il apporte, ainsi une réponse « aux allégations non documentées du Gouvernement du Sénégal« , le présentant comme étant le « responsable des événements tragiques qui se sont récemment produits au Sénégal« .

La résultante des crises précédentes…

D’après Ousmane Sonko, « les toutes dernières crises de 2021 et 2023, qui ont déclenché un mouvement de résistance sans précédent contre le régime du Président Macky SALL, sont la résultante des crises précédentes et du mépris affiché par le régime en place. Faute de n’avoir pas compris les exigences essentielles du peuple, de la jeunesse en particulier, durement frappée par le chômage, le régime de Macky SALL en est arrivé à vouloir s’agripper au pouvoir quitte à violer la Constitution et à marcher sur des cadavres en éliminant ses adversaires politiques« .

« Depuis 11 ans qu’il préside aux destinées du Sénégal, le président Macky Sall a fait de l’élimination de ses adversaires politiques une doctrine« , donne-t-il les cas de Khalifa Sall et Karim Wade.

Un « prétendu dialogue national »….

A cet effet Sonko estime que « les soubassements politiques de ces dossiers n’ont échappé à aucun Sénégalais et sont étayés par les tractations actuelles, sous le couvert d’un prétendu ‘dialogue national’ dont le principal objectif est l’examen, par Monsieur Macky Sall, des voies et moyens de leur réhabilitation politique« .

« Complots » politico-judiciaires…

Sur ce, il estime que la situation qu’il vit présentement « participe de cette pratique consistant, à l’approche de chaque élection, à écarter un adversaire craint, par le biais de la persécution d’Etat et d’une machination judiciaire (…) Je limiterai les développements qui suivent aux causes liées aux complots politico- judiciaires visant à m’éliminer de la course à la présidentielle de 2024 et à la traque d’État contre notre parti politique.« .

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