« Jai arrêté de me raser et…je suis insultée…de partout… », cette femme raconte son calvaire

Publié par

Khosi Nkanyezi Buthelezi, une femme âgée de 42 ans résidant à Johannesburg, en Afrique du Sud, et présentant une pilosité corporelle abondante, y compris une barbe, a expliqué les raisons pour lesquelles elle a choisi de laisser pousser ses poils. Khosi a pris conscience de cette particularité à l’adolescence, mais elle n’a pas considéré cela comme inhabituel, car d’autres femmes de sa famille ont également vécu des expériences similaires.

En dépit des insultes et des commentaires haineux de certains internautes, elle a décidé d’accepter pleinement sa condition unique de croissance excessive de poils, qui recouvre l’ensemble de son corps, y compris une barbe complète.

À la fin de l’année 2022, la curiosité de Khosi l’a poussée à consulter des professionnels de la santé au sujet de sa croissance excessive des poils. Cependant, malgré des recherches approfondies, les médecins n’ont pas pu établir de diagnostic médical. Face à cette incertitude, elle a fait le choix d’embrasser pleinement son apparence unique et a décidé de documenter son parcours sur TikTok. Malgré les regards insistants et les commentaires désobligeants, elle a montré sa résilience face aux trolls en ligne, en particulier ceux qui la traitaient de manière offensante, allant jusqu’à la qualifier d’homme, selon le Daily Mail.

Khosi a expliqué qu’elle avait été exposée dès son enfance à l’idée que les femmes avec une pilosité excessive étaient considérées comme bénies, fortes et résolues, à l’instar de ses tantes. Cette croyance l’a amenée à penser que sa propre croissance excessive de poils était un trait héréditaire, et elle n’a jamais ressenti le besoin de consulter un médecin, car elle ne présentait aucun problème physique.

Cependant, lorsqu’elle a finalement consulté un médecin généraliste, celui-ci lui a suggéré de faire des tests hormonaux pour explorer d’éventuels liens avec la fertilité et le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK). Selon Khosi, les deux tests ont donné des résultats négatifs, indiquant qu’elle pouvait avoir des enfants si elle le souhaitait et qu’un traitement hormonal n’était pas nécessaire car tout semblait être en ordre.

Au cours de son parcours médical, un médecin a évoqué la possibilité qu’elle souffre d’hirsutisme, une condition qui touche principalement les femmes et qui se caractérise par une croissance excessive des poils dans des zones spécifiques du corps. Bien qu’elle n’ait jamais entendu parler de cette maladie auparavant, elle a été inquiète, ce qui l’a incitée à expérimenter en se rasant les cheveux.

Malgré les mises en garde de sa famille selon lesquelles le rasage pourrait aggraver sa condition, Khosi a décidé de tenter l’expérience, remettant en question l’idée que les poils repoussent plus épais après le rasage, qu’elle considérait comme un mythe.

Elle a commencé par se raser les cheveux de manière hebdomadaire avec un rasoir, car elle travaillait dans un environnement exigeant une apparence soignée. Cependant, cette méthode semblait avoir l’effet contraire en accélérant la repousse des poils.

Khosi a finalement cessé de se raser il y a un an, constatant que la situation empirait. Frustrée par cette lutte constante contre la croissance excessive des poils, elle a finalement décidé de s’accepter telle qu’elle est et de prioriser son amour-propre.

Elle a cessé de se raser et a souligné l’importance de l’acceptation de soi en tant qu’élément essentiel des soins personnels, renforçant ainsi la confiance et l’estime de soi. Selon Khosi, la beauté prend de nombreuses formes, tailles et apparences, et elle est convaincue que l’acceptation de soi est fondamentale. Elle estime que la beauté peut se manifester de multiples façons et encourage les autres à embrasser leur singularité.

→ A LIRE AUSSI : « Mon fils m’a surpris avec mon collègue en plein acte et il…», cette femme est désemparée

→ A LIRE AUSSI : « Je vis seule avec mon fils de 17 ans mais…me faire l’am0ur… », confidence très bizarre d’une femme désespérée

→ A LIRE AUSSI : « Je suis une nouvelle mariée mais lima diakhal moy quand je fais…sama jeukeur dafay youkhou ba wa keurgui di… », cette femme n’arrive à se faire à l’idée

'

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *