Les 09 coutumes les plus ch0quantes et extravagantes d’Afrique

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Avant toute chose, il faut savoir que la coutume n’est pas ethnique mais territoriale.

Ce qui veut dire que d’un pays à un autre nous n’avons pas les mêmes traditions.

Au Kenya, on utilise sa salive le jour d’une naissance..

Lorsqu’un nouveau-né Massaï vient au monde, aucun adulte de par sa religion ne peut le toucher. L’adulte ne pourra accueillir le bébé qu’en salivant sur lui.

Au Soudan, les balais et les œufs sont de coutume lors d’un mariage…

 

Pendant la cérémonie de mariage appelée « nincak endog », la famille devra brûler sept balais. Les deux mariés doivent se placer face à face devant la porte de leur maison et une demoiselle d’honneur vient alors casser des oeufs sur les pieds du marié.

La femme devra ensuite laver les pieds du mari. Après quoi, la mariée devra sauter au-dessus d’un bloc de bois prouvant ainsi sa soumission.

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Au Kenya, les femmes Massaïs confectionnent des bijoux…

De mère en fille, les femmes de la tribu des Massaïs se transmettent l’art de la création de colliers en perles. Ces parures serviront aux filles Massaïs qui vont déclarer leur amour à un guerrier de la tribu autour d’un bon verre de lait.

À Madagascar, les jumeaux sont soumis à une malédiction…

À Mananjary, l’ethnie des Antambahoaka est connue pour le « tabou des jumeaux».

C’est une malédiction qui remonte au premier Antambahoaka. À son arrivée à l’embouchure du fleuve Sakaleona, au nord de Mananjary, cet homme aurait choisi une épouse. Elle tomba enceinte de jumeaux puis trouva la mort. Mais le malheur s’abattit aussi sur sa deuxième et sa troisième épouse. Il décida que sa descendance n’élèverait jamais de jumeaux. Depuis le 5 juillet 1982, seul le petit hameau de Fanivelona a levé ce tabou.

À Mananjary, l’ethnie des Antambahoaka est connue pour le « tabou des jumeaux».

C’est une malédiction qui remonte au premier Antambahoaka. À son arrivée à l’embouchure du fleuve Sakaleona, au nord de Mananjary, cet homme aurait choisi une épouse. Elle tomba enceinte de jumeaux puis trouva la mort. Mais le malheur s’abattit aussi sur sa deuxième et sa troisième épouse. Il décida que sa descendance n’élèverait jamais de jumeaux. Depuis le 5 juillet 1982, seul le petit hameau de Fanivelona a levé ce tabou.

Au Soudan du Sud, un mariage doit se conclure par deux nouveau-nés…

La tribu Nuer considère que le mariage n’est pas complet tant que la femme n’a pas mis au monde deux enfants. Si les deux enfants ne sont pas nés, le marié peut demander le divorce.

En Nouvelle-Guinée, un père doit cracher par terre à la vue de son bébé..

 

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