Condamné à cinq ans de prison avant d’être gracié, le socialiste Khalifa Sall a toujours dénoncé son procès comme étant politique, tout comme le leader de Pastef, Ousmane Sonko, qui a quant à lui été accusé de viol. Les deux hommes ont été condamnés dans des affaires qu’ils ont qualifiées de tentatives de liquidation de leurs adversaires politiques.
Il existe une similitude entre les dossiers de Khalifa Sall et de Sonko. Khalifa Sall rappelle ses propos de 2021 : « Ousmane Sonko ne devrait pas être la troisième victime de cette méthode visant à éliminer des candidats ». Selon lui, ces méthodes doivent être bannies de l’espace politique « dans notre pays ».
Il a également été interrogé sur la décision du président de ne pas se présenter en 2024, ainsi que sur la modification du Code électoral qui permettrait à lui-même et à Karim Wade d’être éligibles en 2024, parmi d’autres sujets…
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