L’Islam recommande que ceux qui sont derrière l’Imam soient des fidèles qui maitrisent bien le coran et la Sounah. Eh oui, au Sénégal, cette recommandation n’est pas appliquée. Cette place est réservée aux fidèles de par leur rang et position social. Ainsi, les autorités du pays prennent place près de l’Imam. Conséquence, elles sont incapables de rectifier l’Imam en cas d’erreur commise durant la prière.
Samedi lors de la prière de l’Aid -el Kebir, l’Imam de la grande mosquée de mouride, Massalikoune Jinaane a omis la Sourate Fatiha selon Vox Pop. Heureusement que le préposé au micro central a été alerté par des fidèles qui n’en revenaient pas. C’était devant le Premier ministre Boun Dionne et 3W. L’Imam a ainsi repris la prière. Mais pourquoi ceux qui étaient juste derrière lui, pour la plupart des politiciens ne lui ont pas rectifié à temps ?
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Ce n est pas une question de diang ou de niaka diang; la Fatiha est obligatoire dans une prière: son omission annule d office la prière. Tout le monde le sait. La question est la suivante: est-ce que les politiques savaient réellement comment dire a l imam qu il a omis la Fatiha et dans les règles de l art?