Publié par En prélude à la 71e session de l’Assemblée générale des Nations Unies., le président zimbabwéen Robert Mugabe y est allé, en compagnie de ses deux fils, des ministres, des hauts fonctionnaires du gouvernement et de sa femme Grace…
Robert Mugabe qui avait demandé au président américain le « promoteur de l’homosexualité », selon ses propos, de venir d’abord avoir une relation intime avec lui avant qu’il ne légalise le « mariage pour tous » dans son pays, vient de lui proposer ses deux fils (photo) pour épouser Malia et Sacha.
Monsieur le président, a-t-il dit, je doute fort que vos filles se marient demain avec des filles et, je vois bien mes fils être de bons époux pour vos filles. Ainsi, vous et moi, au lieu qu’on se marie, nous pourrions marier nos enfants.
Ce serait un bon signe de réconciliation entre nos deux Nations ainsi qu’entre vous et moi. On saura alors si votre tolérance n’est pas de façade. N’est-ce pas ? Ne juge-t-on pas un maçon au pied dur mur ?
La balle est de votre côté !
Malia et Sacha vivront-elles au Zimbabwe?
Bien qu’il soit dans la liste de personnalités interdites de séjour en occident, Mugabe peut encore assister à des réunions de l’ONU dans ces pays, puisque son pays en fait partie.
Sa femme Grace a toujours dénoncé cette décision car leur fils Robert Junior, ne pourra jamais réaliser son rêve de jouer aux États-Unis, ni d’y vivre avec sa dulcinée Sacha à cause de ses sanctions.
« Nous avons dû lui expliquer qu’il ne pourra jamais adhérer à un club ou jouer dans la ligue universitaire américaine en raison des sanctions. Ca été un coup dur pour lui mais maintenant, il comprend ce que signifie d’être le fils du président Mugabe, » a déclaré sa mère Grace en 2012.
Lors de sa prise de parole lundi après l’adoption de la Déclaration de New York sur les réfugiés et les migrants, Mugabe a dénoncé la gestion de la crise actuelle des réfugiés par les occidentaux.
« Nous avons constaté qu’une grande partie des réfugiés qui ont débarqué sur les côtes européennes provenaient de pays dans en conflits tels que l’Afghanistan, l’Irak, la Libye et la Syrie », a-t-il dit.
«Le plus souvent, les Etats membres ont été enclin à la force qu’aux moyens pacifiques.
Cette doctrine et l’aventurisme militaire hégémonique, alimentée par le désir protéger les intérêts des nations puissantes est la racine de la prolifération des conflits armés qui ont donné naissance à tant de réfugiés aujourd’hui. »
Ce discours n’améliorera pas les relations entre Washington et le Zimbabwe!
Obama donnera-t-il une suite à sa demande ?
Sacré Bob !
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