Pour faire face à ses manifestations, des nervis faisaient le travail de la police et de la gendarmerie.
Armés de machettes et gourdins, à bord de véhicules Pick-up appartenant au ministère de l’éducation, ils traquaient les jeunes dans les rues de Dakar.
Le frère de balla gaye cité dans le de recrutement des nervis : « Sa Thiès moniou bolé…»
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