Fin de calvaire pour 14 africaines réduites séquestrées et maltraitées au Koweit

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Depuis quelques jours, la vidéo d’une Camerounaise établie au Koweit fait le buzz sur Internet.

Son cri du coeur et appel au secours, en larmes, ne sont pas tombés dans l’oreille d’un sourd. Car Yaoundé a immédiatement réagi. Et est en train de tout mettre en oeuvre pour sortir ses compatriotes du bourbier kowetien.

« Les autorités camerounaises, à travers la représentation diplomatique de Riyad, ont délivré des laissez-passer à l’ensemble du groupe, afin de faciliter le retour au Cameroun, d’ici le 10 octobre 2018 », lit -on dans un communiqué du ministre délégué aux Relations extérieures, de Félix Mbayu.

Ces ressortissantes camerounaises qui travaillent comme femmes de ménage, au nombre de 14, étaient séquestrées et maltraitées par leurs patrons. Mais d’ores et déjà, rassure les autorités camerounaises, elles sont « prises en charge par le Département d’affaires sociales du gouverneemnt kowetien », en attendant eur rapatriement.

Cependant, d’autres femmes africaines, selon les témoignages de victimes camerounaises, continuent de vivre un calvaire sans nom et sans fin au Koweit et dans d’autres pays de la région. A leurs autorités respectives d’imiter le gouvernement camerounais pour mettre fin à leur cauchemar.

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