Publié par Historiquement, le Sénégal était perçu comme un pays où la violence, bien qu’existante, restait relativement maîtrisée. Cependant, les récentes statistiques et incidents révèlent une inquiétante escalade des actes criminels violents. La brutalité croissante de ces meurtres, souvent marqués par une cruauté sadique, remet en question cette perception de calme et de sécurité.
Le cas d’Aziz Dabala est devenu emblématique de cette nouvelle vague de violence. L’agression qu’il a subie met en lumière non seulement une intensification de la brutalité, mais aussi une désensibilisation inquiétante face à l’horreur. La manière dont Aziz et son colocataire, Boubacar Gano, alias Wally, ont été tués, laisse entrevoir un comportement qui dépasse les simples motifs criminels, flirtant dangereusement avec le sadisme.
Les vêtements récupérés par la famille de Wally après le drame témoignent de cette violence extrême. Le t-shirt qu’il portait, le même que dans la dernière vidéo qu’ils ont publiée sur TikTok, présente plus d’une dizaine de déchirures causées par le couteau qui l’a tué. Ces détails troublants renforcent l’idée que le Sénégal est confronté à une mutation inquiétante de sa criminalité, où la violence devient de plus en plus barbare et insensible.
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