KAwtef de cette femme : « Goor bouma diaral damakoy faye mou teudai ma »

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L’histoire des femmes qui s’offrent des services de ces jeunes, à la fleur de l’âge, est parfois pathétique ou spécifique. Chacune d’entre elles, a ses propres motivations.

Mais, le constat reste identique, ces femmes souffrent toutes d’un manque d’affection et de chaleur $£xuelle. Un vide qu’elles cherchent à combler avec ces jeunes gigolos pour bénéficier d’une nouvelle jeunesse ou rattraper le temps perdu. Suite du dossier sur la pratique du gigolo, réalisé par Leral.

Ces femmes cadres, riches se soulagent ou s’envolent en l’air avec ces jeunes gigolos, tout en payant la facture. Quel que soit le prix, ces bonnes dames sont prêtes à casquer fort pour ce luxe, le temps d’une partie de jambes en l’air. Même si, c’est juste une nuit, quand le besoin se manifeste.

« Je ne me torture pas. A chaque fois que je sens le besoin, je n’hésite pas à faire comme le « njougoup », « oiseau de nuit », pour satisfaire mes envies ou pulsions $£xuelles. Je me fais bien belle. Comme tu me vois, « macha Allah », il est difficile de me résister. Dès que je me présente sur les lieux de pêche, je ne perds pas de temps, je me sers d’un prince charmant à mes goûts. Je le paye et, il me baise bien. Il y’en a qui sont vraiment formidables. Ils savent s’y prendre », explique ce cadre supérieur dans une banque de la place, Nabou Sène, accrochée par Leral.

La charmante dame dit n’être pas dans le besoin de se faire envahir par un homme encombrant. Certains hommes, déplore-t-elle, se marient avec des femmes pour les étouffer à vie. « Je ne veux point vivre cette torture ou brimade phycologique. Il est parfois très difficile pour nous, cadres, de trouver un mari. Nous ne pouvons pas implorer les hommes à nous prendre.

Et, nous avons nos exigences. Le fait de rester chaste jusqu’à trouver un homme de notre préférence, peut être parfois difficile. Vraiment, on ne peut pas s’empêcher de goûter aux délices du $£xe. On a besoin de nous pimenter la vie », dévoile ce cadre, bien galbée avec un sourire assassin.

Cette belle créature, qui ne passe pas inaperçue, regrette le caractère fugitif des hommes. Ils refusent de croiser du regard les femmes matures avec une situation professionnelle acceptable.

En tout cas, personnellement, confie-t-elle, avoir des relations $£xuelles avec ces jeunes, me convient bien. « Je me sens mieux en sécurité avec la compagnie de ces jeunes. Ils sont doux, tendres, très attentionnés dans la pratique du $£xe. Ils savent s’y prendre », relève-t-elle.

Nabou, une incarnation véritable de l’élégance féminine sénégalaise, ne regrette pas du tout ses aventures répétitives avec les « gigolos ». Le prix à payer pour satisfaire sa libido, importe peu. Et pour elle qui savoure ses précédentes parties de jambe en l’air, l’essentiel est d’atteindre l’extase ou de monter au septième ciel.

Leral

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