Un incident douloureux a suscité un appel à l’action : une femme, mère d’un enfant du Royaume-Uni demande l’interdiction des « BBL liquides » après une expérience traumatisante qui l’a laissée avec des complications graves et des douleurs intenses, comparables à celles d’un accouchement.
Monique Sofroniou, âgée de 30 ans et originaire de Londres, témoigne contre la procédure non chirurgicale qui a bouleversé sa vie. En 2021, elle a entrepris ce qu’elle pensait être une transformation positive en optant pour un « lifting brésilien des fesses » (BBL) afin d’améliorer son apparence, dépensant 3 000 livres sterling pour l’intervention. Cependant, la suite a été un cauchemar qu’elle décrit comme « pire qu’un accouchement ».
L’intervention, qui impliquait l’injection d’un litre de produit de comblement dans chaque fesse, a pris une tournure catastrophique lorsque Monique s’est retrouvée dans un état alarmant après la séance d’une heure. Des réactions sévères, des gonflements et une fièvre extrême l’ont amenée en urgence aux services d’urgence, où une septicémie a été diagnostiquée.
Au fil des jours, la souffrance de Monique s’est intensifiée et des complications graves sont apparues, avec des cloques suintant une substance cauchemardesque. La douleur intense, combinée à l’affaissement et à la décoloration de sa peau, a laissé des marques permanentes rappelant cet épisode traumatisant.
La septicémie, une infection potentiellement mortelle, a plongé Monique dans une lutte épuisante pour sa guérison. La découverte que du silicone non dissoluble avait été utilisé au lieu de l’acide hyaluronique standard a amplifié son désarroi, soulignant le manque de transparence et de responsabilité dans l’industrie cosmétique.
Aujourd’hui, Monique s’efforce de sensibiliser le public et de plaider en faveur de règles plus strictes pour les BBL liquides. Elle partage son histoire non pas pour susciter la sympathie, mais avec la volonté ardente d’empêcher d’autres personnes de subir des traitements similaires.
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