À 38 ans, John Moore incarnait l’image du succès : cadre influent dans une entreprise technologique de pointe aux États-Unis, habitant une splendide maison à San Francisco et entouré d’amis avec qui il partageait des moments précieux. Cependant, au-delà de cette apparence de perfection, un malaise grandissait en lui. Il s’agissait d’un vide intérieur, un sentiment d’insatisfaction profonde, un poids difficile à définir mais constamment présent.
Ce vide, tel un gène incrusté dans sa nature humaine, semblait lié à une quête de sens inassouvie. Malgré ses réussites, il se retrouvait face à une absence de vraie plénitude, comme si son accomplissement professionnel n’avait jamais comblé une aspiration plus fondamentale. En réalité, ce malaise cachait une question existentielle : celle du but véritable de sa vie et de ce que signifiait, pour lui, être pleinement épanoui.
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