Le procès d’une responsable d’Amnesty International de 73 ans, à laquelle les autorités reprochent d’avoir aidé l’été dernier deux jeunes émigrés de Guinée refoulés de France en Italie malgré leur statut de mineurs isolés, s’est ouvert à Nice (sud-est) mercredi en fin d’après-midi.
Reporté à trois reprises, notamment à la demande du parquet pour vérifier les pièces administratives concernant les deux jeunes hommes, le procès est une première en France contre un membre de cette ONG, également membre de l’Association nationale d’aide à la frontière pour les étrangers (Anafé).
Martine Landry, jugée à la veille du procès de deux Suisses et d’une Italienne également poursuivis pour leur aide à des migrants, risque jusqu’à cinq ans d’emprisonnement et 30.000 euros d’amende.
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