Le scandale des sextapes de Baltasar Ebang Engonga, dirigeant de l’Agence nationale d’investigation financière de Guinée équatoriale, a provoqué une onde de choc, non seulement en ternissant l’image internationale du pays, mais aussi en portant atteinte à la réputation des femmes équato-guinéennes impliquées. Constancia Mangue Nsue Okomo, première dame de la Guinée équatoriale, a exprimé son indignation face à ce scandale, soulignant lors d’une rencontre avec le Premier ministre Manuel Osa Nsue Nsua le 6 novembre, que cette affaire va à l’encontre des efforts pour promouvoir les droits des femmes et l’égalité des sexes.
Dans ses déclarations, Constancia Mangue a insisté sur l’importance de protéger la dignité des femmes touchées par cette affaire et a proposé des mesures concrètes pour prévenir de futurs scandales similaires. Elle a également évoqué la nécessité de renforcer les lois sur la vie privée et la protection des données personnelles, un enjeu qui prend de l’importance avec l’augmentation des contenus privés diffusés en ligne.
Le gouvernement de Malabo envisage de mettre en place une législation plus stricte pour protéger la vie privée des individus et maintenir l’image du pays, tout en répondant à la montée en puissance des plateformes numériques.
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