Publié par Le journaliste Mamadou Ibra Kane reconnait la grandeur du Khalif des Mourides. Sa sortie dernièrement n’a seulement été peut-être une bourde que les gens ont bien voulu s’aggraver davantage en y mettant du feu. Pourtant, le Directeur général du Groupe E-Media désignait déjà le Khalife Général des Mourides, il y a de cela quelques années comme l’« Homme de l’Année ».
Mamadou Ibra Kane a en effet, depuis la date du 18 octobre 2019, avait déjà parlé du Khalif des mourides, Serigne Mountakha Mbacké telle une légende souriante, qui mérite le titre de l’homme de l’année.
« Serigne Mountakha, une légende souriante »
Dans cette chronique datant presque deux ans, Mamadou Ibra Kane était d’accord que le khalif général des mourides est un grand homme de paix et de fédérateur. « Serigne Mountakha Bachir Mbacké, une légende vivante. Une légende souriante. Ce sourire qui ne quitte jamais le Khalife général des mourides a séduit plus d’un. Ses sympathisants se recrutent bien au-delà des frontières de la confrérie fondée par Cheikh Ahmadou Bamba », avait chanté presque le boss de Iradio.
« Pas besoin d’aller chercher très loin. On tient notre « homme de l’année »
Poursuivant, vous apprend Sunubuzz, Mamadou Ibra Kane, cette année-là, avait déjà dans sa chronique placé le Khalif comme étant l’homme de l’année. « Si tous les chemins ont encore mené à Touba à l’occasion du Magal, c’est certes dans la continuité d’une tradition légendaire établie par le Cheikh lui-même. Mais c’est aussi et surtout à cause du sourire fait homme qui caractérise l’actuel commandeur du Mouridisme. Pas besoin d’aller chercher très loin. On tient notre « homme de l’année » en la personne de Serigne Mountakha. Un Khalife qui, par son leadership spirituel, a réussi à détendre une atmosphère politique et sociale des plus lourdes », avait-il dit.
« Fédérateur »
Entre autres, en parlant avec d’emphase sur le Khalif Mamadou Ibra Kane a fait est allé même jusqu’à lui attribuer le rôle de « fédérateur ». « l’actuel continuateur de l’œuvre de Bamba n’est pas le seul guide spirituel dans ce rôle et dans cette sorte d’RSE version religieuse. Force est de reconnaître cependant son influence décisive dans la décrispation en cours, et ceci en moins d’un mois depuis la réconciliation de « tisbar » du 27 septembre, à Massalikul Jinaan, entre le président Macky Sall et son prédécesseur Abdoulaye Wade, jusqu’à l’audience de « takusaan » du 12 octobre, au Palais de la République. La médiation à succès de Serigne Mountakha ressemble à bien des égards à une perche tendue à deux anciens compagnons politiques qui avaient hâte de se retrouver », avait-il renseigné aux gens. Et de poursuivre : « ce tour de force réussi du Khalife s’offre ainsi en porte de sortie inespérée à la fois pour le Président Sall et pour les Wade. Autre temps, autres humeurs ».
Alors, en lisant cette chronique qui date un lustre, le journaliste n’aurait d’autres intentions que si ce n’est de parler sur le factuel.
SUNUBUZZ !
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